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Marius Jacques BERGERET
... dit Pépé est né le mardi 26 mars 1901 à 11h à Lyon 6e
Il est le fils de Jean Marie BERGERET, Employé de commerce et de Anne POULET dit BONNETON.
Il est le dernier d’une fratrie de 5 enfants et a pour frères et sœurs : Marie Marguerite (née en 1887), Julie Louise (née en 1888), Pierre Jean-Marie Germain (né en 1890), Philippe Marius Adrien (né en 1898).
Son père Jean meurt le 1er juin 1912, Marius est âgé de 11 ans et la famille est ruinée.
Il épouse Marguerite VAREILLE dite Mémé (1899-1979), le samedi 10 avril 1920 à Lyon 3e. Ce couple aura trois enfants et beaucoup de petits enfants, mais actuellement seul Gérard et Thomas portent le nom de BERGERET :
En 1921, il habite à Lyon 06e - 18, cours d'Herbouville, le couple déménage à Brest pour un court séjour et vient s’installer vers 1930 à Dijon.
Il entre vers les années 1930 aux établissements Sigran (Maintenant « Armand Thierry ») à Dijon, il habitera au-dessus du magasin Place Darcy, avec toute sa famille.
Marius BERGERET est décoré le 31 décembre 1963 à Dijon (21000) – Il reçoit la médaille du Mérite Commercial et Industriel. Photo article de Presse.
Marius BERGERET devient membre, le 18 juin 1966 à Nuits-Saint-Georges (21700), du Chapitre d’été au château de Clos de Vougeot
Il prend sa retraite courant 1967 et déménage Rue Michel Servet à Dijon.
Le 19 mai 1979 Marguerite meurt, Marius est âgé de 78 ans.
Marius BERGERET dit Pépé est décédé le jeudi 3 mai 1984, à l'âge de 83 ans, à Dijon (21000). Il est inhumé le 7 mai 1984 au cimetière à Bron (69) auprès de sa femme et de son fils Georges dit « le petit Babet ».
Ça c’est pour le cadre. …
Mes souvenirs…
Un Pépé aimant et tendre… mon plaisir était de coiffer ses beaux cheveux blancs. Et il ne disait rien… je me souviens du stade j’adorais monter et descendre les marches et faisait ainsi « tourner bourrique » ma mémé.
Je me souviens que je n’y comprenais rien… que ça sentait la transpiration et pas très bon, qu’il faisait froid et que c’était pluvieux…
Je me souviens aussi de la phrase rituélique qu’elle lui disait et qui était un code entre eux « BTB » qui saura décrypter… bon je livre un secret de famille… « Boutonne Ta Braguette ».
Je me souviens du local du Stade Dijonnais, il m’y emmenait souvent… c’était notre promenade et au retour nous passions par le marchand de bonbons. Je me souviens de casiers blancs où des maillots (propres) étaient rangés, de fanions et des coupes…
Je me souviens de Gérard Savin, j’en « pinçais » pour lui du haut des mes 10 ans …
Je me souviens de l’importance que le Stade Dijonnais avait pour mon pépé.
Je me souviens de nos virées à Mesmont dans son Opel, de la route qui y menait, de la gerbe de blé qu’il changeait tous les étés et qu’il accrochait au rétro de la voiture…
Voila ce sont les souvenirs d’une petite fille qui a côtoyé l’espace d’un temps et par le petit bout de la lorgnette le Stade Dijonnais mais qui en a gardé une belle image.
Merci pour le site que vous avez fait… belle initiative pour ce « Devoir de Mémoire Sportive ».
Véronique